Ca me fait penser à un ami, qui a une maison dans la Limagne (Limagne = Champs de maïs de centaines d'hectares), mais ce n'est "que la maison de ses grands-parents et arrière grands-parents, sauf que lui n'est pas cultivateur, l'horreur.3
Ca a commencé après la ,mort de son père, il y a une trentaine d'années; Vu que la façade arrière de sa maison est bordé d'un chemin qui lui permet d'aller à sa grange, et au reste de son terrain, mais il y a bien 5 m de large.
Au début, c'est la borne cadastrale, qui "se déplaçait", réduisant son passage. Bon, il la remettait, mais le voisin "maïsard" a entrepris une autre technique: Ses rangs de maïs étant parallèle à la maison, ben l'année d'après, il y avait un rang de maïs de plus, puis un autre, au point qu'il avait du mal à passer avec sa "Corsa" (voiture connue pour son encombrement), au point que l'ami a "fait passer le cadastre" (en payant, bien sur, et le cultivateur, c'est 3 (trois) mètres qu'il avait "gratté", 3 mètres, mais sur une longueur d'environ 200 m.
Pour sa défense, il a prétendu qu'avec son nouveau tracteur, il ne l'avait pas très bien en main (ou dans l'oeil, au choix).
Ca s'est terminé "à l'amiable, l'ami a posé au lieu de la clôture symbolique IGN, ses traverses SNCF de récup, à même le sol et ça n'a plus l'air de bouger . . .
Enfin, ça s'est passé sans heurts! Un autre ami qui était directeur d'un collège de montagne, a acheté à "folle enchère", une parcelle marécageuse de quelques centaines de m², sur la commune où il vivait et travaillait.
C'était une sorte d’îlot dans une grande parcelle totalement stérile. Peu après, son terrain et le chemin qui y conduisait étaient clôturés au barbelé, et on lui a fait comprendre,qu'on n'achetait pas du terrain quand on n'était pas natif du coin... Ambiance.
Mais ça nous éloigne du sujet . . .